mercredi 15 mai 2019

Désir(s) : Ronde de mai 2019 avec Hélène Verdier : Icônes

Aujourd'hui, la ronde, s’enroule et se déroule sur le thème « Désir(s) ».
Le principe, aussi simple que la danse enfantine : le premier écrit chez le deuxième, qui écrit chez le troisième, et ainsi de suite.
Ce mois-ci, j'ai le plaisir de recevoir Hélène Verdier qui est l’auteur du blog : « simultanées ».
Quant à Dominique Hasselmann, il accueille mon texte sur le sien : « Métronomiques ».

Merci à tous les deux, à tous ceux qui font la ronde et à leurs lecteurs.

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Icônes

dans cet espace clos par de lourds rideaux gris, devenu rituel de toutes nos enfances, flotte la liberté de ces corps réunis. Nous pensons à Degas, à Matisse peut-être. Dans la ronde des instants, aurions voulu voler en recommencements, retours, sauts, pas glissés, en avant. Portés comme en apesanteurs. Bondissant vers les terres aimées, leurs odeurs, et d'autres horizons qui ne pourraient êtres que bercés par la mer, le clapotis de l'eau et une brise tiède. Les jours en projection, tous les temps confondus. Grâce des gestes simples en par delà d'oubli. Lumières sur la peau hérissée de frissons. Et le son de la voix qui transcende l'absence. Une image, vraiment.

Grand Quevilly, 12 mai 2019, Véronique.

© Danses, photographie de Hélène Verdier

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En ce 15 mai de l’an de grâce 2019, entrent dans la ronde des « Désir(s) »…
Franck écrit chez Hélène Verdier : simultanées,
Hélène chez moi qui vais rendre visite à Dominique Hasselmann : Métronomiques,
Dominique chez Noël Talipo : Talipo,
Guy chez Jean-Pierre Boureux : Voir et le dire, mais comment ? (Suite à la fermeture du blog lecteur de Jean-Pierre par Le Monde, Guy migre chez Franck),
Jean-Pierre chez Marie-Christine Grimard : Promenades en ailleurs,
Marie-Christine chez Giovanni Merloni : Le portrait inconscient,
Giovanni chez Jacques d'A : La vie de Joseph Frisch ;
enfin, Jacques chez Franck : A l’envi.


2 commentaires:

  1. Danses de toutes façons et les frissons du désir à la surface...

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  2. Ça s'appelle la danse des mots à ce que je vois !

    J'aime cette idée...

    Amitiés,
    Stéphane

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